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Octolliard
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Quand je lis la plupart des blogs et fora Dofus, je me demande si je suis dans le même univers que les autres joueurs. Par exemple, lorsque je me balade sur le forum officiel de Dofus en flânant entre les conseils du forum de la classe crâ, il est quasi systématique à partir d’un certain niveau qu’on « impose » une panoplie Ventouse, et comme si ça ne suffisait pas, celle-ci doit subir un fm exotique +PA quand l’auteur du conseil ne rend pas le Dofus Ocre obligatoire.

Il va sans dire qu’un autre message vient compléter ce conseil en proposant un Dofus Turquoise…

À l’heure actuelle, mon crâ est de cercle 189, il ne possède aucun vrai Dofus et est affublé d’une panoplie du Prince des Voleurs, peu puissante et optimisée (quoi que, j’ai les jets max!) en comparaison avec le stuff évoqué précédement. C’est, je pense, une solution de facilité d’autant que pour quelques classes le jeu change radicalement et est très intéressant (petit clin d’œil à Tigrooooo qui n’a pas du changer d’équipement depuis des lustres). Cependant, une question se pose, pourquoi ai-je la sensation d’être un minable dans la masse de THL qui écrase tout sur son passage?

Je n’ai pas la réponse à cette question, je me demande d’ailleurs quelle est la proportion de personnages autant optimisés sur chaque serveur par rapport à celle de personnages moyennement stuffed. En tout cas, j’assume parfaitement de passer pour un naze par rapport aux références écrites, et je m’éclate!

Je vous invite à faire un tour dans la peau d’un perso « basique » au sein d’une guilde ou l’optimisation des donjons est un concept trop lointain pour qu’on y pense. :D

Malgré du retard en équipement et niveau (ce n’est pas le cas de tous les Opusiens j’vous rassure), à l’Opus on va bouger nos fesses en donjon. Ça serait intelligent de temps en temps de faire des donjons dont on a besoin pour des équipement cela dit. Bref, il ne reste que deux têtes à accrocher à mon tableau de chasse, qui d’après moi aurait pu y être depuis une quarantaine de cercles.

Ougah, gardien du donjon fungus

Ce totem champignonnesque, surnommé par certains « putain d’Ougah », est la seule créature que je n’ai jamais combattu (si ce n’est en solo sur le serveur de test en confondant avec une potion de rappel), avec peut-être le Dark Vlad dont je n’ai aucun souvenir. Pourtant, arrivé au cercle 189, certains des équipements qu’il permettrait de confectionner seraient intéressants mais je n’ai jamais eu l’envie d’aller le titiller.

YS défie l'Ougah en donjon Fungus

YS défie l'Ougah qui se planque derrière ses gardes du corps en donjon Fungus

Un jour peut-être, sous l’emprise irrésistible de ceuillir du champa, j’irai faire un tour du côté de la caverne des fungus un peu plus en profondeur. Ce n’est pas à l’ordre du jour.

Quant à la seconde ombre au tableau, elle est de taille.

Le Kralamoure géant

Le plus gros monstre du Monde des Douze (en tout points), reste invaincu face à moi. Ça s’est joué à peu de chose, mais si on cumule les connexions en jeu un peu trop rares, la difficulté de savoir quand s’ouvre la porte du Kralamoure géant sur Silouate, et des morts instantanées en combat (à quoi ça sert autant de vie à un Sacri s’il la perd d’un coup? :P )… décrocher sa tête n’est pas une mince affaire.

YS affronte le Kralamoure Géant

YS affronte le Kralamoure Géant (qui semble avoir le dessus)

Des combats à la sauce YS

Plus qu’à la saucisse, on peut dire à l’Opusienne. L’Opus se fait une spécialité maison des combats sans technique prédéfinie, avec des teams loin des archétypes (quand on a un panda ou un éni ou un sacri c’est jour de fête).

C’est tellement une habitude que je ne savais pas quoi pensé lorsque j’ai lu chez Cadavre Exquis (dont je vous recommande la lecture du blog) que faire courir un Minotot était un fait rare. Les compères que je cotoie régulièrement en donjon sont plutôt du genre à pousser/entraver à l’usure, dans tous les sens, et surtout selon les moyens du bord (quand on a 3 ou 4 Sadidas ou aucun soin dans un combat, ce n’est jamais fait exprès, mais on fait avec :D ).

Ce n’est pas très « conventionnel » de ne pas choisir avec qui on part à l’aventure (je ne suis pas sûr que sur Oto Mustam on s’y risquerait de la sorte), mais le plus souvent ça passe et c’est riche en rebondissements. Par contre, on redécouvre certains donjons. Morceau choisi: extrait d’un donjon bworker.

Herbe folle au boss du donjon bworker Le bworker encaisse une pelle du jugement Donjon bworker: ronce apaisante
Herbes Folles sur le bworker, Pelle du Jugement, Ronce apaisante…

Maladresse sur le bworker Flèche cinglante sur le bworker
… et autres Maladresses et Flèches Cinglantes. Et c’est reparti pour un tour!

Il arrive qu’on abuse encore et encore de libérations, flèches de recul et de dispersion, pièges répulsifs ou peurs, mais je n’ai pas de souvenirs de lobotomie façon Xelor ou attrape-mob avec Pandawa ou Sacrieur. C’est d’autant plus plaisant dans le donjon bworker, car malgré tous les retraits (parfois esquivés), le bworker bouge toujours et il faut s’occuper du petit monde autour!

Moralité de l’histoire, un donjon comme je le vois et le vis est plus dur, plus long… hmmm… plus long et plus dur! Hmmm, je m’égare. Moralité de l’histoire, disais-je, à ramer comme un galérien, on peut se marrer comme un Opusien!

  1. Bien dit ! Même si on est du genre a bien galérer quand même :’)
    On se rattrape sur les drops parfois \o/ ( ou pas )
    Et de toute manière on est la pour pourrir du monstre … pas pour les roxxer :)

  2. [...] en ce moment dans l’attente de son cercle 199 comme je le disais dans la note décrivant les donjons sur Dofus à l’Opusienne et l’effet produit est souvent apprécié. Il ne reste qu’à espérer qu’avoir [...]